Chantait chantait une chanson Que rĂ©pĂ©taient deux autres compagnons Marjolaine, toi si jolie Marjolaine, le printemps fleurit Marjolaine, jÂŽĂ©tais soldat Mais aujourdÂŽhui Je reviens prĂšs de toi Tu mÂŽavais dit : "Je tÂŽattendrai" Je tÂŽavais dit: "Je reviendrai" JÂŽĂ©tais parti encore enfant Suis revenu un homme maintenant DĂ©pĂȘchetoi, dĂ©pĂȘche-toi, ne perds pas de temps. Donne ta sĂšve et donne ton sang pour faire un enfant. L'hirondelle et la fauvette, c'est la forĂȘt qui me l'a dit. L'hirondelle et la fauvette, ont dĂ©jĂ  des petits. Y a le printemps qui te rĂ©veille, t'as le bonjour du printemps {x2} Y a le printemps qui t'ensoleille, oh, le coquin de Lprintemps on dit qu'ça sent la rose Le lilas et puis le jasmin Pour moi l'printemps ça sent aut'chose Puisqu'on cure la tonne Ă  purin. Finis d'faire la cour aux fumelles Les soirs d'hiver Ă  la veillĂ©e L'printemps fait gonfler les mamelles C'est celles des vaches qu'il faut tirer. Ouais, vieux ! Isabelle ! Tiens bon l'taureau ! J'amĂšne Vay Tiền Nhanh. Suzanne Vega & Gerry Leonard Bien mieux que EMILY IN PARIS, voici venir SUZANNE AND GERRY IN PARIS
 Soit Suzanne Vega et son hallucinant guitariste Gerry Leonard, dont la tournĂ©e europĂ©enne fera escale Ă  Paris mercredi prochain, le 22 juin pour un concert forcĂ©ment torride Ă  l’Olympia. En fĂ©vrier dernier l’étoile Vega avait accordĂ© une interview extensive Ă  Gonzomusic oĂč elle Ă©voque avec candeur son album Ă  venir, son guitariste-star, Gerry Leonard, le COVID, Molly le Yorkshire et le mystĂ©rieux Poez the poet. Depuis l’aube des annĂ©es 90, j’ai souvent eu le privilĂšge de tendre mon micro Ă  la Diva Vega Voir sur Gonzomusic , au printemps 93 j’avais mĂȘme rĂ©alisĂ© un documentaire de 26 minutes diffusĂ© sur Arte et en version papier dans Globe en marchant dans les pas de Suzanne trois jours de suite Ă  la dĂ©couverte de son » New York ,dans la foulĂ©e de son flamboyant album ». AprĂšs toutes ces annĂ©es, j’avoue que j’ai toujours autant la chair de poule en l’écoutant chanter son Luka » ou encore Marlene On the Wall », Ă  mes yeux l’étoile Vega brille comme celle de Joni Mitchell Voir sur Gonzomusic ou encore de Kate Bush Voir sur Gonzomusic il n’existe pas dix femmes comme elles dans tout l’univers. Et je suis fier d’avoir eu le privilĂšge de croiser si souvent son chemin. En fĂ©vrier dernier, la sonic folk-rock singer Ă©tait en concert Ă  Paris et en amont de sa tournĂ©e estivale en Europe, elle nous avait accordĂ© une interview. A moins d’une semaine de son concert Ă  l’Olympia, la voici en fin publiĂ©e
 Comment ça va Suzanne ? Je vais trĂšs bien merci. Tu dois ĂȘtre folle de joie d’ĂȘtre enfin de retour sur scĂšne, non ? Oui, on peut dire que je suis particuliĂšrement excitĂ©e. C’est trĂšs motivant de tourner Ă  nouveau et de pouvoir jouer Ă  nouveau. Et surtout face Ă  des gens dans le monde rĂ©el et non plus sur Zoom. Et je prĂ©sume que ces gens sont eux aussi excitĂ©s de te voir. Oui. La derniĂšre fois que nous nous sommes parlĂ© c’était en octobre 2020 et tu m’avais dit en effet j’ai dĂ©jĂ  quelques chansons prĂȘtes pour un nouvel album. Certes, mais cet album n’est pas encore prĂȘt. Je n’ai pas encore achevĂ© de composer toutes les chansons. Il sera achevĂ© en temps et en heures. En gĂ©nĂ©ral il se passe quatre ou cinq ans entre deux albums, lĂ  on en est Ă  six ans
 c’est un peu frustrant pour nous ? Allons comme tu y vas, cela ne fait pas encore huit ans. Le dernier est sorti en 2016
. Donc n’exagĂ©rons rien ! Et il s’est produit tant et tant de choses. Mais ne t’inquiĂštes pas, lorsqu’il sera temps, tout se produira de maniĂšre rapide. Donc pas d’inquiĂ©tude ! Aucune inquiĂ©tude. Je suis allĂ© voir sur le net les images de ton dernier concert oĂč tu joues la plupart de mes chansons favorites comme Caramel » ou encore Marlene On the Wall » et ce qui m’a frappĂ© c’est la dĂ©licatesse de leur interprĂ©tation est-ce lĂ  l’influence de ton partenaire musical, l’excellent Gerry Leonard ou Lenard 
 d’ailleurs comment le prononce-t-on ? Il est irlandais donc on dit effectivement Lenard ». Il est incroyable car il parvient Ă  jouer mes parties de guitare exactement comme moi je les joue, donc effectivement cela me donne toute la libertĂ© de bouger autour de la scĂšne, de me sentir plus dĂ©tendue, plus libre aussi. Je peux mĂȘme descendre dans le public. Parfois aussi nous jouons ensemble et cela donne une nouvelle dimension aux chansons. Cela apporte aussi une variĂ©tĂ© au concert que je ne pourrais pas apporter si j’étais seule avec ma guitare. Il sait aussi jouer du rock and roll mais il peut aussi faire de gĂ©niales, dĂ©licates et terrifiantes harmonies. On forme lui et moi une super Ă©quipe. Cela semble ĂȘtre le partenariat idĂ©al. Comment l’as-tu trouvĂ© ou comment t’a-t-il trouvĂ© ? C’était il y Ă  peu prĂšs vingt ans, on travaillait sur l’album Songs In Red And Grey » et le producteur Rupert Hine nous a rĂ©unis sur ce projet. Et dĂšs le dĂ©but j’ai Ă©tĂ© subjuguĂ©e par son jeu de guitare. Et il me l’avait dit Ă  l’époque tu sais je peux faire tes parties de guitare exactement comme tu les joues toi-mĂȘme. Je luis ai rĂ©pliquĂ© super
 Oui montre-moi
 Exactement, montre-moi
 et c’est Ă  ce moment que je me suis cassĂ© le bras, c’était juste avant le 11 septembre. Et nous devions partir en tournĂ©e. Mais j’étais absolument hors d’état de jouer. Alors je lui ai dit te souviens-tu que tu m’avais dit ĂȘtre capable de jouer toutes mes parties de guitare comme moi je les joue ? Peux-tu nous accompagner en tournĂ©e et jouer Ă  ma place ? Et c’est ce qu’il a fait. Il a jouĂ© quelques mois pour moi
 jusqu’à ce que David Bowie le choisisse et l’emmĂšne loin de moi ! Il m’a dit j’adorerais rester, mais David Bowie m’a demandĂ© et je n’ai pas pu refuser. Okay
 c’est tout de mĂȘme David Bowie ! Mais dĂšs que Bowie n’avait plus besoin de lui, j’avais le droit de le rĂ©cupĂ©rer
 avant qu’il ne reparte avec Bowie et ainsi de suite. C’est comme ça que nous nous sommes rencontrĂ©s et c’était il y a vingt ans. Musicalement, en fait il est comme une deuxiĂšme Suzanne Vega ? Je le dĂ©fie en tant que guitariste et lui me dĂ©fie en tant qu’auteur-compositeur. C’est comme un jeu de ping-pong entre vous ? Oui je le pousse dans ses derniers retranchements et lui agit de mĂȘme avec moi. C’est vraiment une alchimie unique. C’est ce que j’allais te dire cela fait 35 ans que je t’interviewe Ă  divers moments de ta carriĂšre, c’est la premiĂšre fois que je te dĂ©couvre dans une telle relation musicale. Cela fonctionne vraiment bien entre nous. La premiĂšre fois oĂč nous l’avons expĂ©rimentĂ© c’était justement au cours d’une tournĂ©e française, en 2008. Nous avons passĂ© six semaines Ă  sillonner la France. C’était la premiĂšre fois que nous jouions ensemble en duo et c’était absolument super. Le public Ă©tait enthousiaste, on a compris qu’on formait une super Ă©quipe. Et Ă  deux cela apporte beaucoup plus de souplesse que de se produire avec tout un groupe. Alors lui et moi avons persĂ©vĂ©rĂ© Ă  jouer ensemble. Et jusqu’à aujourd’hui
 Et jusqu’à aujourd’hui, mĂȘme si parfois nous invitons d’autres musiciens Ă  nous rejoindre, parfois un bassiste, parfois un batteur ou un autre instrumentiste. Cela change tout le temps, mais cela apporte une belle dynamique. Qu’est-ce que tu aimes le plus en lui ? Gerry ? C’est un vĂ©ritable soutien. Tu se sens en suretĂ© ? Ce n’est pas tant que je me sente en suretĂ©, c’est que parfois au contraire il me force Ă  aller de l’avant, il me provoque. Mais pour la bonne cause. Bien sĂ»r. Il est Ă  la fois solide et rassurant et aussi il y a quelque chose en lui qui me donne de l’énergie. En fait, tu lui transmets ton Ă©nergie et il te la renvoie. Oui, cela fonctionne dans les deux sens. Hier soir, par exemple, il y a eu ce moment sur scĂšne oĂč le public voulait qu’on fasse Blood Makes Noise » et on l’avait rĂ©pĂ©tĂ©e quelques semaines auparavant, alors j’ai dit ok. Tout Ă©tait extrĂȘmement silencieux durant une minute. Et je sentais bien que Gerry de l’autre cĂŽtĂ© de la scĂšne se prĂ©parait avec les bonnes pĂ©dales et la bonne guitare. Le public attendait et moi j’attendais aussi alors je lui ai dit tu es vraiment prĂȘt Ă  ça Gerry ? Et immĂ©diatement avant mĂȘme que j’ai achevĂ© ma phrase il a rĂ©pliquĂ© en français je suis prĂȘt. Et toute la salle s’est mise Ă  crier
 Joli ! C’est comme s’il savait Ă  l’avance que j’allais lui poser cette question. MĂȘme avant moi-mĂȘme. VoilĂ  c’est le genre de relation que nous avons, elle est presque tĂ©lĂ©pathique. La question suivante, tu dois t’en douter est qu’est-ce que tu aimes le moins chez lui ? Je suis sĂ»r que je peux trouver quelque chose rire disons que de temps Ă  autres Gerry exerce son esprit critique et ça peut m’énerver. Bien entendu, il le fait par jeu, pour me vanner par pure provocation. Alors oui, de temps Ă  autres il se livre Ă  ce petit jeu et je n’aime pas ça. Et il le fait sciemment en plus
 Mais gĂ©nĂ©ralement il est trĂšs attentionnĂ©, mais quand il veut m’énerver il sait trĂšs bien comment appuyer lĂ  oĂč cela fait le plus mal. Lors de notre derniĂšre conversation au dĂ©but de la pandĂ©mie, tu me confiais combien tu Ă©tais frustrĂ©e car tu avais rejoint le casting d’un show qui reprenait le film polĂ©mique de Paul Mazursky Bob, Carol, Ted & Alice » de 1969 et puis soudain tout s’était arrĂȘté  Exactement. Le show a-t-il repris aprĂšs le COVID ? Non. À un moment, nous avions mĂȘme songĂ© Ă  la donner au Royaume-Uni et Ă  tourner en Europe mais hĂ©las le COVID a tuĂ© tout ça. Tout l’univers du théùtre et des comĂ©dies musicales Ă  New York se trouve menacĂ©. Et la sociĂ©tĂ© qui produisait le show a tournĂ© la page et est passĂ© Ă  d’autres productions. Tu penses collaborer un jour Ă  nouveau Ă  une comĂ©die musicale ? Je crois que ma prioritĂ© est plutĂŽt du cĂŽtĂ© de mes chansons. Il faut que je finisse d’écrire cet album. Je sens qu’il est grand temps, que j’en ai envie et que le public en a aussi envie. C’est fun de toucher Ă  d’autres formes d’art, mais je dois revenir Ă  mes fondamentaux les chansons. Tu as vĂ©cu tant d’expĂ©riences ces derniĂšres annĂ©es Suzanne. Sans oublier le COVID et les bouleversements qu’il a entrainĂ© sur les relations entre les gens, tout cela va forcĂ©ment se retrouver dans ton Ă©criture, c’est forcĂ© ! Je suis tout Ă  fait d’accord avec toi. J’avais plein d’autres idĂ©es, avant que n’advienne la pandĂ©mie, sur les thĂšmes que j’allais aborder, sous quels angles, et comment j’allais les traiter et avec quel style , la plupart de ces idĂ©es ont capotĂ© et beaucoup d’autres sont effectivement neuves. Mais il faut que trouve par quelle façon les traiter car cela doit ĂȘtre Ă  ma façon. Le 11 septembre a changĂ© Ă  jamais notre maniĂšre de voyager, par exemple. Et le COVID a changĂ© Ă  jamais la maniĂšre dont nous interagissons les uns par rapport aux autres. Oui. Et je suis certain que tout cela doit grandement t’inspirer. Comment en serait-il autrement ? Le monde lui-mĂȘme est diffĂ©rent dĂ©sormais. Voici 10 ans jamais je n’aurais pu prĂ©dire ce que nous vivons aujourd’hui l’interview a eu lieu le 18 fĂ©vrier soit six jours avant que Poutine ne dĂ©cide d’envahir l’Ukraine ce qui explique que le sujet de la guerre ne soit pas abordĂ© ici NDR . Cela a toujours Ă©tĂ© ma maniĂšre de pratiquer d’embrasser ces sujets avec ma guitare, pour mieux les Ă©clairer voire de les dĂ©noncer. Me demandant qu’est qu’il faut dire et comment le dire. Ce qui m’a sidĂ©rĂ© avec ce qui s’est produit l’an passĂ© et ce qui va se produire cette annĂ©e, c’est qu’il y aura des craintes dans certaines chansons mais il y aura Ă©galement la joie de pouvoir se reconnecter avec autres, de redĂ©couvrir le monde Ă  nouveau. C’est Ă  la fois une urgence et un bonheur, la joie de se sentir vivant. Quelqu’un dans le public m’a lancĂ© rĂ©cemment on a rĂ©ussi Ă  traverser tout ça ! Nous sommes toujours lĂ . Mais d’autres hĂ©las n’ont pas eu cette chance. Nous connaissons tous quelqu’un que cette maladie a emportĂ©. Les choses doivent ĂȘtre Ă  nouveau rĂ©parĂ©es. L’économie est ruinĂ©e, les boutiques ont fermĂ©, les restaurants ont fermĂ©. C’est la mĂȘme histoire partout Ă  travers le monde. Oui c’est un sentiment universel. Sur un terrain plus souriant, as-tu toujours des canaris, des chats, des chiens
 et tous ces animaux qui t’entourent ? rires En fait lĂ  nous n’avons plus qu’un chien! Quoi c’est tout ? Les chats sont partis l’un aprĂšs l’autre, aprĂšs une belle vie que nous avons partagĂ©e. Notre dernier animal est notre magnifique chienne. Son nom est Molly, c’est une petite Yorkshire, elle est ĂągĂ©e et a des problĂšmes cardiaques. Mais elle a toujours bon appĂ©tit et elle rĂ©clame toujours autant de friandises. Elle adore les pommes et en rĂ©clame toujours plus. Elle est trĂšs mignonne et nous apporte beaucoup de bonheur. Lorsqu’elle nous quittera, je crois bien que nous ferons une pause sur les animaux, car mon mari pourra enfin voyager avec moi. Tu veux dire qu’il reste Ă  New York juste pour s’occuper d’elle ? Oui, uniquement pour Molly, je confirme. Mais en juin on cĂ©lĂšbre son anniversaire ; j’espĂšre que cette fois il va pouvoir m’accompagner durant cette tournĂ©e et qu’il sera prĂ©sent Ă  Paris pour le concert du 22 juin Ă  l’Olympia. Quel est le jour de son anniversaire ? Le 15 juin
 HĂ© bien nous n’oublierons pas de le lui souhaiter. C’est trĂšs romantique l’anniversaire Ă  Paris ! Nous y sommes dĂ©jĂ  venus ensemble auparavant, notamment pour la Saint Valentin. Mais tu ne jouais pas ? Si, justement. Au cours de cette premiĂšre longue tournĂ©e en France, dont je te parlais, en 2008, il est montĂ© sur scĂšne avec moi et il a jouĂ© les interprĂštes pour sa femme traduisant mes blagues en français pour le public. Il parle parfaitement français. C’est un musicien ? Non mais c’est un poĂšte. Il s’est d’ailleurs produit ici en France au dĂ©but des annĂ©es 80. Et il avait eu droit Ă  un super papier Ă  dans le Figaro Ă  l’époque. Son nom d’artiste est Poez the poet , mais son vĂ©ritable nom est Mills. C’est aussi un excellent juriste, spĂ©cialisĂ© dans les droits humains, le pĂ©nal et surtout tout ce qui touche au 1st Amendment, la libertĂ© d’expression. C’est un super orateur
 
 qui dĂ©fend la veuve et l’orphelin, comme on dit ! Absolument. Cela te va parfaitement. rire On peut le dire. Nous formons un beau couple, car nous nous comprenons parfaitement en partageant les mĂȘmes valeurs. Une derniĂšre question avant que tu ne t’esquives, parlons de ta tournĂ©e. Tu vas faire beaucoup de dates en Europe ? Elle dĂ©marre justement par cette date, le 22 juin Ă  l’Olympia et nous enchainons ensuite une dizaine de concerts. » Happy birthday 2 Poez the poet
.. 2022 UK & UE TOUR JUN 19 – GHENT, BELGIUM JUN 20 – LEUVEN, BELGIUM JUN 22 – PARIS, France youpee !!!! JUN 24 – READING, UK JUN 26 – GLASTONBURY, UK JUN 28 – COLOGNE, GERMANY JUN 29 – THE HAGUE, NETHERLANDS JUL 1 – ANTWERP, BELGIUM JUL 2 – ANTWERP, BELGIUM JUL 4 – BERLIN, GERMANY JUL 5 – HAMBURG, GERMANY JUL 6 – UTRECHT, NETHERLANDS JUL 8 – AMSTERDAM, NETHERLANDS JUL 9 – LESSINES, BELGIUM JUL 10 – ECHTERNACH, LUXEMBOURG JUL 12 – EINDHOVEN, NETHERLANDS JUL 14 – STUTTGART, GERMANY JUL 16 – TRENTO, ITALY JUL 17 – TRIESTE, ITALY JUL 19 – ROME, ITALY JUL 24 – CANET EN ROUSSILLON, FRANCE JUL 27 – GLASGOW, UK JUL 29 – CAMBRIDGE, UK JUL 31 – CAWTHORNE, UK AUG 3 – BRUGGE, BELGIUM Tu m'avais dit Live Tu m'avais dit nous deux C'est tout un avenir. Tu m'avais dit Je veux des lits de souvenirs. Tu m'avais dit je t'aime, Et tu m'as fait l'amour. Tu m'avais dit je t'aime Et tu partis un jour. Mon amour est mort. Tu m'avais dit c'est toi, C'est toi que j'attendais Dans le dĂ©sert sans vie OĂč ma vie se perdait. Tu m'avais dit demain, Demain c'est aujourd'hui, Tu m'avais dit demain, Et puis tu es parti. Mon amour est mort Puisque tu vis sans moi, Puisqu'une autre a chaud dans tes bras, Que tu fais avec elle Les mĂȘmes gestes de la nuit Que nous faisions ensemble. Alors je cours aprĂšs Le printemps de tes yeux, De regret en regret Je cours aprĂšs nous deux. Je ne pourrais jamais T'oublier de ma vie, Alors je cours aprĂšs Ce que tu m'avais dit. Notre amour est mort. Tu m'avais dit nous deux, Et moi je te croyais. Tu m'avais dit je veux, Et moi je te voulais. Tu m'avais dit je t'aime Et tu m'as fait l'amour. Tu m'avais dit je t'aime Pour mieux partir un jour, Un jour. CreditsWriters Hubert Giraud, Eddy Marnay Lyrics powered by Link © 2022 All rights reserved. Website image policy Rockol Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes “for press use” by record companies, artist managements and agencies. Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content. Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted. Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted. Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing. Feedback Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use where confirmed, we would immediately proceed to their removal. InterprĂštes HĂŽtel, motel, impair et passe / La limousine est dans ton lit / Épouvantail aux seins de glace / Extase, sextase and ecstasy / / Ferme les yeux, le ciel est vide / Les anges ont shinĂ© leurs motos / M
 Au pied du mur / Dans le coma / Par les temps durs / Par les temps froids / Au pire du pire / Au pire de moi / Quand j’osais dire / “J’ai besoin d’toi” / / J’ai besoin d’toi / Pour me dĂ©fendre / Cont
 J’passe ma vie ent’ deux accords / Ent’ deux villes, ent’ deux shows, ent’ deux bars / Tu t’imagines que j’vis et revis ma jeunesse / Pourtant, c’est moĂ© qui meurt de peur que tu m’laisses / / J’pass
 Les images se mĂ©langent / Dans la poudre et le sang / La mĂ©moire me dĂ©mange / La mĂ©moire me dĂ©mange / / C’t’à quelle heure / C’t’à quelle heure / C’t’à quelle heure / / Le prĂ©sent? / Le prĂ©sent? / 
 BrĂ»le ta langue sur sa peau / Perds la vue dans sa voix / Fais-la rire, tiens-la au chaud / Aime-la mieux que moi / Tous les drames rĂȘvent de toucher son Ăąme / Si tu la touches, t’as pus le choix / L’
 Pose et repose encore jusqu’au matin / Pose et repose ton corps / Contre le mien, tout va bien / Ferme les yeux, oublie / Ne pense Ă  rien / Ferme les yeux et fuis / Jusqu’à demain, tout va bien / / N
 Celui qui a voulu voir le bout de sa vie / Celui qui a connu la chaleur de ton lit / Celui qui a touchĂ© le ciel de tes cheveux / Ne sait plus oublier mĂȘme en fermant les yeux / Apres avoir Ă©tĂ© le plus
 Le soleil se dĂ©tache dans le ciel de carbone / Et la laideur se cache sous les voiles des madones / Toi, tu vois comme un flash sous une pluie d’étoiles / Le serpent noir qui crache des larmes de cris
 Crime que j’t’adore quand tu rentres dans place / Pis qu’tous les matamores s’dĂ©placent la carcasse / Pour te laisser passer, pour te r’garder voler / Papillon diaphragme au travers d’la boucane / / 
 La rage au corps / La mort au cƓur / J’te veux encore / J’en vis et j’en meurs / / Tu m’jettes pis tu m’prends / Mais lĂ  c’est une fois de trop / Veux-tu boire tout mon sang / Me ronger jusqu’aux os?
 Elle t’emmĂšne danser et tourner / Elle se dĂ©hanche, la blanche tornade / Elle vient dĂ©sabuser, te fouetter / La blanche tempĂȘte de sable / / Elle vient t’envoĂ»ter, t’ensorceler / FiĂšvre brĂ»lante qui 
 Parce que je sais que tu existes / CachĂ©e derriĂšre mes rĂȘves fous / Parce que je sais que tu es triste / Quand tu penses Ă  nous / / Parce que je sais que tu t’en vas / À chaque jour, un peu plus loin
 Hey, hey, hey, hey / Hey, hey, hey, hey / / J’t’un fumeux d’trac / Vendeur d’amour / Qui boit d’la peur / / Quand j’mange la claque / J’t’un gars qui braque / Les projecteurs / / Comme le bĂątar
 Tu peux serrer les poings / Tu peux me rire au nez / Ça ne me fait plus rien / Puisqu’elle m’a pardonnĂ© / / Tu peux changer de rue / En me tournant le dos / Je te ris au cul / Puisqu’elle touche Ă  ma
 Si tu veux faire du rock / Ça t’prend d’la rage / Une couple de bocks / Pis un gros nuage / C’t’un cri baroque / Qui t’sort d’la cage / Quand tu dis fuck / Parce que t’en baves / / Dans l’fond d’la c
 C’est une grande dame au trafic rock and roll / Un drame sonore qui a du soul / On entend le chant des sirĂšnes downtown / L’enfer du dĂ©cor underground / / La belle Catherine a mis son rouge Ă  lĂšvres 
 ArrivĂ© de nulle part / Je ne suis pas d’ici / Je suis du dĂ©sespoir / Comme on est d’un pays / / Il n’y a pas de blessure / Dont on ne guĂ©rit pas / Mais je sais ce que dure / Les sanglots dans la voix
 Qu’est-ce que tu faisais / Pendant ma vie sans toi? / Pour qui tu dansais / Pendant ta vie sans moi? / Qu’est-ce que tu cherchais / Pendant ta vie lĂ -bas? / Comment tu te brĂ»lais / La nuit dans d’autr
 Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Des femmes sont passĂ©es, sans rien dire / M’ont donnĂ© l’envie de les retenir / Des femmes sont restĂ©es une heure ou moins / 
 Jusqu’au bout de la pluie / Jusqu’au bout de ma voix / Jusqu’au bout de mes cris / Jusqu’au bout de mes doigts / Jusqu’au bout de mes nuits / Jusqu’au bout de la route / Debout dans ma folie / Jusqu’à
 On s’rend des comptes, on s’fait honte, on s’emprisonne / On s’mange le coeur, c’est d’valeur, on s’empoisonne / On s’dynamite en hypocrite, on s’donne une chance / Une dĂ©cisive en rĂ©cidive, quitte ou
 Je voyage en enfer / Dans les bas fonds de la rue / NoyĂ© dans la boucane / Entre les bouteilles de biĂšre / Parmi les femmes qui travaillent nues / / Au milieu d’une bande de solitaires apeurĂ©s / Accr
 C’est une princesse vraiment unique, c’est la sirĂšne des / alcooliques / On lui parle comme une amie, c’est une dĂ©esse dans la nuit / À qui on dit tout ce qu’on dit pas, elle t’écoute, elle te / juge 
 Quand t’es partie, j’avais pu rien Ă  perdre / À part ma vie pis une veille guitare dĂ©saccordĂ©e / Quand t’es partie, j’avais juste envie d’me perdre / J’me suis perdu Ă  force de te chercher / / Quand 
 J’ai pu rien Ă  dire / J’ai mĂȘme pu envie d’boire / J’ai pu envie d’sortir / J’ai presque peur dans le noir / Je veux juste dormir / Histoire de m’faire accroire / Qu’le bonheur a vu pire / / Au diabl
 Deux cƓurs au vif / Ça tourne Ă  l’infection / L’infirmiĂšre de service / Nous veut bien de l’affection / / Mais nous sommes deux sinistres / Impassibles Ă©paves au bout du bar / On a vu trop d’rĂ©cifs /
 Toujours, toujours dit oui / À la bouche qui mord dans le cuir de ma vie / Toujours, toujours dit oui / À l’amour qui dĂ©vore, qu’importe le prix / Toujours, toujours dit oui / Quand j’ai mal, je le cr
 Quand je t’ai vue, c’est elle que j’ai r’connue / Peut-ĂȘtre que je voulais me mentir / Tu m’as cru et j’ai su que t’étais fait pour me maudire / Plus je te regarde et plus j’entends ses rĂȘves / J’veux
 Ouh ouh ouh ouh / Ouh ouh ouh ouh / / Le jet set, la clique qui s’éclate / Les robes qui flashent, les tapis rouges / Les soirĂ©e trash de taches / C’est ben beau / Mais penses-y comme faut / / 
 Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dĂ©range / Un signal d’alarme qui dĂ©sarme et sĂ©duit mĂȘme les anges / / Ils ont tous dans les yeux ce que tu ne vois pas / Qui n’appartient qu’à eux, qu
 On fumait des rouleuses / Sur un sofa dĂ©foncĂ© / Et dĂ©jĂ  les filles malheureuses / Venaient nous consoler / / Ça s’oublie pas / Les annĂ©es de poĂšmes / Je chantais n’importe quoi / Tu Ă©coutais du Cohen
 Nah nah nah-nah-nah nah nah / / Allez, viens, j’te paye une broue / ToĂ©, t’as l’coeur Ă  bonne place / Quand un des nĂŽtres mange un coup / T’es l’premier sautĂ© s’a glace / C’est plus que nos histoir
 Y a des soirs comme ça / On a peur de la folie / Des fois, on sait qu’il ne faut pas / Se noyer seul dans la nuit / Des soirs, on a peur de tout / Des fois, ça fait mal, l’insomnie / Y a des soirs par
 Si il faut briser ses poings sur la face de l’ennemi, je / briserai les miens sur la face de la vie / / Si il faut frapper plus fort que ceux qui nous menacent / / Je fracasserai la mort et les anné  lls ont les mains propres et les poches pleines / D’argent soutirĂ© dans les miennes / Ils ont de belles cravates, les salauds / Ces bureaucrates qui veulent ma peau / Avant mĂȘme que je dĂ©grise / Ils m
 Hey! / Ah, oh, hey / / Elle est mon eau-de-vie / La tempĂ©rature grimpe quand elle entre / Elle me sourit / Et toute la nuit, on danse / Avec elle, le rythme devient pervers / Avec elle, jusqu’au ma
 Tes cheveux gris / Tes mains qui tremblent / Ton insomnie / Tes nuits blanches / Ton foie malade / Ta vue qui baisse / La sĂ©rĂ©nade de tes malaises / / Tes craintes qui s’entassent / Sous le poids des
 Ce monde s’ra jamais beau / Le monde est tellement fou / Ce monde, j’en aurais fait cadeau / Heureusement, tu changes tout / / La nuit, y fait jamais chaud / La nuit, c’est comme un loup / Le loup vo
 Une chambre de motel sur le bord de la “ 117 “ / J’attends de tes nouvelles les mains derriĂšre la tĂȘte / Je dessine au plafond les courbes de ton corps / Dans le bruit des camions qui montent vers le 
 Tu m’avais dit les mots les plus fous / Ceux qu’on ne croĂźt qu’une seule fois / Tout c’que tu veux, si tu veux tout / Je te promets n’importe quoi / Tu m’avais dit les mots les plus doux / Je n’aimera
 Sans hĂ©siter dans mon cƓur de bĂątard / Tu as plantĂ© tes griffes / J’avais oubliĂ© qu’un regard / Pouvait frapper comme une gifle / / Patient, je t’attends depuis lors / PrĂȘt Ă  reluire dans l’effort / 
 C’est une histoire d’amour / Une histoire sans danger / Une histoire de tous les jours / On vient de s’rencontrer / / C’est une histoire banale / Une histoire sans pitiĂ© / Une histoire qui fera mal /
 J’ai le cƓur qui claque / Et j’en connais la cause / Pris la main dans l’sac / J’ai un peu forcĂ© sur la dose / Messieurs, les corbeaux / Qui attendez ma mort / J’vous dis que bientĂŽt / Vous danserez s
 Nuit de fous / Rush d’adrĂ©naline / Rendez-vous / Pour les jeux sublimes / Nuit de zoo / Du genre qui nous allume / Loups-garous / Sortons de la brume / / Nuit de fous / Diable dans sa limousine / Par
 Reste lĂ  / Envers et contre moi / Reste lĂ , le monde est guĂ©ri / Je t’en prie / Reste lĂ  / Je devine oĂč tu vas / MĂȘme Ă  l’autre bout du monde / Tu restes ici / Tu me poursuis / / Reste lĂ  / Dans mes 
 Les murs des bars qui penchent / Et les marins qui s’y accrochent / Les annĂ©es noires et les nuits blanches / Avec du vent au fond des poches / / Les injures et les coups / Mes vieux chums du bout du
 Tu danses / Comme un harem, tu fais l’amour / En transe / Tu m’fais voir la lune en plein jour / Je t’ai bue / Comme si je buvais l’innocence / Tes yeux nus / Me font encore des avances / Ton cul / Ne
 À travers la fumĂ©e / Rampant sur la scĂšne / L’ange invite au pĂ©chĂ© / Tous les fidĂšles obscĂšnes / / Tendre et douce fiĂšvre / Sur l’autel de l’offrande / Mon royaume pour ses lĂšvres / Et ma paye pour l
 Si je savais parler aux femmes / Je lui parlerais si doux / La bouche Ă  peine ouverte / Ma main sur ses genoux / / Si je savais parler aux femmes / Je lui parlerais si bas / Qu’elle devrait pour m’en
 Je suis membre viscĂ©ral / Membre du rĂšgne animal / J’ai la langue bestiale / / Pour le bien conjugal / Allez, viens qu’on s’étale / Pour goĂ»ter le pĂȘchĂ© original / / Pas de tabous, rien d’anormal / 
 J’entre avec l’aube / Dans le village endormi / Mon vieux sac de cuir Ă  l’épaule / Étranger en ce pays / / CernĂ©, besoin de repos / D’un cafĂ©, d’un bain chaud / D’un lit bordĂ© de draps blancs / Terre
 Aimer / Comme j’t’ai aimĂ©e / J’pensais pas qu’ça s’pouvait / J’savais pas qu’ça existait / / T’aimer / T’aimer comme j’t’ai aimĂ©e / Y a pas un homme au monde / MĂȘme sur le toit du monde / Qui t’aimer
 Comme un glacier qui craque / Une corde qui claque / Et la nuit qui plaque / Sont des accords majeurs / / Comme une ombre insomniaque / PiĂ©gĂ© dans un cul d’sac / Plus qu’une flĂšche Ă  son arc / En att
 L’hiver s’en va, c’est dur Ă  croire / mais on a passĂ© Ă  travers; / la terre dĂ©gĂšle, les filles sont belles, / dans l’hĂŽtel y fait chaud. / / Y en a qui s’promĂšnent / avec une p’tite chaĂźne en or d’in
 [Refrain] / Une chance que j’t’ai / Je t’ai, tu m’as / Une chance qu’on s’a / / Quand tu m’appelles “ mon p’tit loup “ / Avec ta petite voix / Tu panses mes bleus / Tu tues tous mes papillons noirs
 J’t’ai dit “va-t’en” / Je l’ai pensĂ© pour un instant / J’t’ai dit “va-t’en” inconsciemment / Avec des mots dĂ©ments / Qui t’rentrent dedans / / J’étais blessant / Versant des larmes de bourreau / Sur 


chanson tu m avais dit pour le printemps